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Bonatti-Tabou

Le temps est au beau fixe pour trois jours. Nous n’hésitons pas une seconde, direction la combe maudite!!!

On décide de partir en autonomie totale, le prix à payer est le poids des sacs!!!

Un gros sac et une belle vue.
Un gros sac et une belle vue.

Bref, après une bonne marche d’approche, on pose le camp de base!!!!

 

Installation.
Installation.
Tu vois, le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses.

 

Et hop!!!!
Et hop!!!!
Base Camp au pied du Grand Cap
Base Camp au pied du Grand Cap

Une petite sieste s’impose après tous ces efforts…

Au bout d’1h de sieste, on en peut plus, le granit nous appelle.

Après concertation, direction la Bonatti-Tabou sur la Chandelle du Tacul.

Une super belle voie. Avec cette combinaison, on évite les longueurs dures!!

La majorité des longueurs sont de toute beauté.

En ce moment, la rimaye est bien garni du coup on a attaqués un peu plus haut. Suivant les topos, il y a une autre longueur sous la première décrite si dessous.
L1 (5c, 35m): Du relais de départ (grosse terrasse), traverser à gauche sur une petite dizaine de mètres puis grimper verticalement des fissures à gauche d’une dalle jusqu’à une petite plateforme au pieds d’un dièdre fermé.

L2 (6b, 20m): Grimper le dièdre, relais à droite. Longueur courte. Très belle et bonne approche des fissures à doigts.

L3 (5c, 40m): Grimper les fissures droit au-dessus du relais, passer un petit surplomb et suivre un dièdre jusqu’à une petite vire. Repérer quelques mètres à gauche le relais de Tabou au dessus du grand devers situe au milieu de la face.

L4 (6a+, 40m): Grimper la dalle entrecoupée de quelques petites fissures. Il faut chercher son itinéraire des fois à droite des fois à gauche.
L5 (6b+, 35m): grimper le feuillet suivi d’un petit surplomb et une belle fissure à doigts qui raye une dalle jusqu’à un relais peu confortable dans une mini-plateforme. Magnifique.
L6 (6a, 40m): Continuer par la fine fissure droit au-dessus du relais. On arrive à une vire, traverser à gauche les mains sur une margelle, croiser la voie Bonatti (qui sort dans la petite cheminée suivie d’un dièdre) sous le sommet par une fissure raide horizontale, puis verticale qui nous amène au sommet.

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